La Caduta
Una mia amica francese, colpita dalla pagina che ho dedicato al romanzo "La Caduta" di Albert Camus, mi ha chiesto di riassumerle i motivi della mia fascinazione.
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Pourquoi aime-je la Chute? Je l’ai lu une centaine de fois en vingt ans. J’ai toujours pensé de résumer mes impressions et réflexions, mais toutes fois, j’en ai de différentes.
Je pense que la révélation de ‘la Chute’ est dans une phrase : « nous ne sommes pas simples ». La duplicité de l’être humain était déjà découverte par la psychanalyse. Ce qui est nouvel dans Camus est qui selon lui la partie la plus sincère entre nous est celle la plus hypocrite. Clamence est un homme très hypocrite, et au même temps, très sincère - pas malgré, mais en raison de cette duplicité. Lui prend conscience de la duplicité et nous la révèle, farouchement. L’homme camusién est une sorte de Janus paresseux, avec deux faces, ni assez vertueux et ni assez vicieux. Le type qui reste à la fenêtre, sans s’engager. Gramsci appelle ces types-la « les indifferentes ». A un point Clamence cite les anges imaginés par Dante, qui restent neutres, sans choisir entre Dieu et Satan. Et, en fait, Clamence prit conscience de soi même la soire qu’il néglige de sauver une femme qui se jette dans la Seine. Dans l'homme camusien il n’y a pas vraiment un ‘bon’ et un ‘mal’, bien séparées, mais une attitude malin qui finisse - quasi pour l' ennui d'elle même - pour faire du bien, et de révéler des aspectes non soupçonnées. C’est l’attitude qui Camus définis de ‘satanisme vertueux’.
Comme juge, Clamence déclare « pas des excuses, pour personne » : nous sommes bien responsables de tout ce qui vient de nous. Clamence montre que nous craignons la liberté et la responsabilité qui en vient. En fait, la liberté que nos désirons, est plutôt l’irresponsabilité.
Tu as peut être notée que il y a toujours de juges (Othon dans la Peste) et des exécutions dans le romans de Camus. La ‘Justice’ est basée sur l’assomption qui est possible de discerner le bien et le mal par une ligne nette. C’est un conviction rassurante, mais nous en révélant la complexité presque diabolique de nos êtres, lire ce livre est comme se voire dans un miroir, ou plutôt dan un kaléidoscope. La Chute est un de ce livres inquiétant, après lesquelles on peut pas être les mêmes. Nous dis que nous ne sommes pas, jamais, innocentes. Seule l’assomption de notre responsabilité, toute entière, nous libère. Camus nous propose de nous charger de notre duplicité et hypocrisie, et pour ce vie de faire du bien, chacun de nous un Rédempteur laïque, Jésus et Judas au même temps, qui un jour sera capable de dormir sur le sol pour souffrir comme nos amis (la compassion).
Enfin, je le trouve plutôt optimiste, pas désespérant comme Sartre.
En plus, il est très bien écrit. Un écriture dense, pas un mot inutile ou sans signification. J’ai été plutôt déçu par les autres livres de Camus, quant au style, car celui était mon premier. Chaque phrase est comme une sentence.
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